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Les niveaux d’aisance des jeunes face aux réalités LGBTQ+ sont en déclin au Québec.

Chiffres extraits d’une étude longitudinale des GRIS du Québec sur les niveaux d’aisance face aux réalités LGBTQ+ entre 2017 et 2024.


3x plus de malaise face au coming out du/de la meilleur·e ami·e

Par exemple, la part de jeunes mal à l’aise en apprenant que leur meilleure amie est bisexuelle est passée de 13,7 % (en 2017-2018) à 39,5 % en 2023-2024.

1 jeune sur 5

est mal à l’aise (voire très mal à l’aise) avec l’idée que deux femmes en couple fondent une famille et élèvent des enfants.

En 2017, ces jeunes étaient à peine 1 sur 14.

Le déclin des niveaux d’aisance face aux réalités LGBTQ+ s’est accéléré dans les dernières années.

Après deux années scolaires très marquées par la covid qui ont permis de resserrer les liens sociaux, l’année 2022-2023 marque le début du plus grand recul dans les huit dernières années des taux d’aisance face aux réalités LGBTQ+ démystifiées par le GRIS.

Les jeunes hommes plus hostiles que les jeunes femmes.

Le déclin des niveaux d’aisance est plus marqué, plus rapide et apparaît plus tôt chez les jeunes hommes que chez les jeunes femmes.

Connaître au moins une personne LGBTQ+ fait drastiquement retomber les niveaux de malaise.

Alors que tout juste 4 jeunes sur 10 ne sont pas à l’aise avec l’idée que deux hommes en couple aient des enfants, cette proportion descend à près de 1 jeune sur 10 chez ceux qui connaissent au moins une personne non hétérosexuelle.



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